Ces observations ne doivent pas amener à un constat d’infaillibilité : les échecs de ces inventeurs sont nombreux, avec :
-Des implantations de bergeries ou d’enclos plus qu’hasardeuses.
-Des traces gravées laissées sur des supports inadaptés ou traitées sans précautions.
-Des chemins, certes idéalement courts, mais difficiles ou périssables.
Et aussi :
-LES INCENDIES :
-De façon inattendue, j’ai pu accéder à des observations inquiétantes par leur fréquence : au 19e Siècle, un nombre considérable de bâtiments a été détruit par le feu : imprudence ou malveillance ?
En fait la conception et l’usage des bâtiments prend peu de précautions pour protéger bois et récoltes des moyens de chauffage.
(V.FESCHET- »Terrain »-19-1992- 81/90)
Un des accidents récents fut la maison de famille de …montreurs d’automates.
Au 19e siècle , à côté des traditionnels migrants, petits ramoneurs, colporteurs, une sorte de dynastie locale a parcouru l’Europe en exhibant ces étrangetés, avec, paraît-il, un succès constant.
Quelques spécimens figurent au Musée Dauphinois de Grenoble , d’autres sont en prêt au Musée de la Vallée à Barcelonnette, et il est maintenant à peu près impossible de savoir s’il s’agissait d’une création locale ou non.
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-Un élément critique de la validité de l’inventivité est La SIMPLICITE..;qui devrait garantir sa pertinence, son succès.
Mais il est banal de constater que la plupart des « solutions », créent des problèmes subsidiaires et l’inventeur est alors en marche vers un « château de cartes ».
L’Art est d’accepter le compromis entre une solution partielle ou imparfaite et l’acharnement improductif
….et si cette stratégie était appliquée à notre quotidien ?
Une attitude inhumaine et difficile à prendre dans une situation d’urgence , ou dans la recherche de l’excellence.
C’est un défi pour le berger, tout comme pour tout concepteur.
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Cet inventaire en zig-zag et sans prétention d’exhaustivité devait se terminer par une autre invention comparable à cette « roue en terre cuite » du début, il s’agit de la :